Fidèle client de la marque au Losange, notre lecteur Armand R., de Colombes (92), s’oriente naturellement vers un modèle de la gamme lorsqu’il souhaite acquérir un nouveau véhicule.
Séduit par le gabarit compact et la ligne de la Mégane de 3ème génération, il passe levier d’une version 1.5 dCi 110, équipée d’une boîte pilotée EDC, en décembre 2013.
Le système de double embrayage défaillant
Armand nous fait part de sa compensation liée au confort et à la finition Bose de son modèle. Mais depuis ce début d’année 2021, les choses ont bien changé… Pendant la période des fêtes de Noël, il remarque que son moteur monte excessivement dans les tours sans accélérer promptement. Armand profite de la révision programmée à la mi-janvier pour signaler le phénomène.
C’est alors qu’on lui annonce la fin de vie du système de double embrayage, inclusif les fourchettes de levier. Le coup de massue tombe à la lecture du devis d’un montant de 3 854 € ! Sans attendre, il envoie une demande de prise en charge auprès du service clientèle. Mais malgré toute sa bonne volonté, le refus lié à l’âge de sa Mégane est catégorique.
Notre stratégie de défense
L’âge de cette Mégane ne suffit pas à justifier un refus de prise en charge de Renault. Armand n’est pas dupe et refuse un tel argument vu le kilométrage peu élevé de sa Mégane. Il se tourne alors vers nous, afin d’obtenir notre avis.
L’entretien réalisé dans le réseau respecte les préconisations du constructeur. La spécificité d’une boîte pilotée (absence de pédale d’embrayage) dédouane aussi Armand de toute responsabilité.
Mais une boîte pilotée (ou robotisée), avec ses composants, doit pouvoir tenir 250 000 km. Si une vétusté s’applique bien à cette Mégane, son faible kilométrage justifie, lui, une participation d’au moins 50 % de la part de Renault.
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