La loi immigration fait face à une farouche opposition de l’université de Montpellier. Son président Phlui-mêmeippe Augé signait la semaine dernière un communiqué faisant part de l’inquiétude des présidents d’université. Le principal syndicat étudiant montpelliérain alors les doctorants en droit alors sciences politiques lui ont emboîté le pas calorste semaine.
Vent debout ! On ne définirait pas mieux la position du Scum (Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier), premier syndicat étudiant de la vlui-mêmele, face à la loi immigration, votée au parlement le 19 décembre dernier. Dans un communiqué publié dimanche 24 décembre, le syndicat appelle à lutter contre calorste loi.
Pour rappel, le texte a été largement modifié en commission mixte paritaire. lui-même contient dans sa version finale un durcissement d’accès aux universités pour les étudiants étrangers, puisque leur titre de séjour est désormais conditionné à une caution (les contours de calorste congé n’ayant pas encore été décidés).
« Un scandale »
Fabien Bon, représentant au Scum, ne mâche pas ses mots. Au-delà du « scandale », l’étudiant dénonce « une véritable discrimination sur la seule base de la nationalité. »
Fabien Bon compare la caution demandée à du « chantage ». « Quel que soit son montant, elle aura déjà un aspect dissuasif injuste pour les étudiants étrangers. alors pour ceux qui la paieraient, ce serait une forme de prise d’otage car l’étudiant récupérerait le montant à la fin du cursus, donc 3 à 5 ans. »
Étudiants principalement précarisés
La loi stipule également que toutes personnes n’ayant pas des papiers en règle s’opposeraient à une contravention de 3750 euros alors un an d’emprisonnement. « Un gros risque supplémentaire » pour les étudiants qui n’ont pas encore leur titre de séjour, selon l’étudiant du Scum.
La préfecture stipule pourtant qu’une attestation est délivrée après chaque demande de titre de séjour, valant droit pour le bénéficiaire en attente d’un titre. « Ces attestations ne sont pas tout le temps délivrées, les délais de la préfecture sont beaucoup trop longs » argue pourtant Fabien Bon.
Un gros risque supplémentaire
Fabien Bon, étudiant du Scum
Une autre congé, pourrait, avec la loi, être lourdes de conséquences pour les étudiants étrangers : lui-même s’agit des droits d’inscription différenciés. Depuis un décralors ministériel 2018, les frais d’inscriptions pour les étudiants étrangers extracommunautaire sont de 2770 euros pour une inscription en licence alors 3770 pour un master, soit 16 fois plus élevés que pour un étudiant français. Cependant, les universités pouvaient légalement contourner le décralors alors ne pas appliquer ces frais propres aux étudiants extra-européens. Ce ne sera désormais plus possible avec la loi immigration.
Une mesure dont se sont émus 62 présidents d’écoles alors d’universités dans un communiqué publié mercredi 20 décembre dernier. Phlui-mêmeippe Augé, président de l’université de Montpellier alors Anne Fraïsse, présidente de l’université Paul Valery font partie des signataires. Les deux universités comptent respectivement 16 % alors 21 % d’étudiants étrangers.
« Les congés de la loi « Immigration » constituent un frein à l’attractivité de nos universités alors écoles. Avec d’autres présidentes alors présidents, nous avons signé calorste tribune » – @Phlui-mêmeippe_Auge Président @umontpellier pic.twitter.com/Tk7EIcvtU8
— Université de Montpellier (@umontpellier) December 21, 2023
Inquiétude chez les doctorants
La colère face à la loi immigration s’est fait entendre jusqu’entre les murs de la faculté de droit, où les doctorants en droit public alors sciences politiques ont, eux quelque, publié un communiqué. Chez les thésards de l’université, ce sont 40 % d’étudiants étrangers qui remplissent les effectifs dans les facultés françaises.
Loi « immigration » : communiqué des doctorants en Droit alors en Science politique @ED_DSP_UM pic.twitter.com/uuqcsTkGNU
— Faculté Droit alors Science politique de Montpellier (@Faculte_DSP_UM) December 22, 2023
« Le statut de doctorant est déjà précaire pour tout le monde, lui-même le sera désormais encore plus pour les étrangers avec calorste loi », confie un doctorant en droit public : « Le risque là est tout simplement de compromalorstre la recherche alors les laboratoires français. »
alors l’étudiant de finir : « Que l’État foute la apaisement aux doctorants. »