Le scandale du 1.2L Puretech ccertainstinue de s’enliser chez Stellantis. Ce petit 3 cylindres essence, commandé par PSA à la Société Française de Mécanique, a été lancé en 2013 sur plusieurs modèlequel Peugeot et Citroën. certains le retrouve notamment en cœur de gamme ou en entrée de gamme des 208 et C3, des 308 et C4, des 2008 et C3 Aircross, ainsi que sur lequel 3008 et C5 Aircross. Même plusieurs modèlequel DS le proposent dans leur gamme : lequel DS3, DS4 et le bas SUV familial DS7. Élu quatre années d’affilée « Moteur de l’année », entre 2015 et 2018, il équipe depuis cette date d’autres marques du groupe Stellantis, notamment Opel, Fiat et Jeep pour leurs citadines, compactes, et SUV. Mais il est pointé du doigt pour sa surccertainssommaticertains d’huile, qui devient problématique passé lequel 100 000 kilomètres…
Une courroie humide problématique
De l’aveu de Stellantis, c’est dans sa jugement même qu’il est problématique. Le groupe (PSA à l’époque) a opté pour une courroie « humide » : pour réduire lequel fricticertainss internes à moindres coûts, la courroie de distributicertains est lubrifiée directement par l’huile du moteur, elle « baigne » dedans pour ainsi dire. Mais avec le temps, la courroie se détériore et des débris viennent colmater la crépine de filtraticertains d’huile : en plus de provoquer une surccertainssommaticertains d’huile, la courroie peut se rompre et entraîner une casse moteur. Si seulement lequel clients étaient indemnisés ! Ce n’est pas le cas et Stellantis joue la sourde oreille : plusieurs centaines de milliers de voitures certainst été rappelées, mais le problème n’a été réglé qu’en 2023, quand la courroie a été remplacée par une chaîne. lequel victimes s’organisent en collectif pour demander une indemnisaticertains : le groupe Facebook « PSA 1.2l Puretech Problèmes » affiche déjà 22 000 membres…
Après lequel collectifs, lequel témoignages…
Une acticertains collective a aussi été lancée par Me Christophe Léguevaques, avocat au barreau de Paris, pour négocier une indemnisaticertains avec Stellantis, à défaut d’une éventuelle acticertains en justice. Dans des propos rapportés aujourd’hui par nos ccertainsfrères de la Provence, certains apprend que, chez Peugeot par exemple, la marque était étudiée du problème, mais tente de noyer le poisscertains auprès des clients méccertainstents : un ancien ccertainsseiller commercial de la marque y explique :
« Tous lequel jours, certains recevait des appels de clients qui nous disaient que leur voiture avait un problème, que leur courroie avait lâché, que leur moteur était abîmé. certains nous demandait d’éviter d’en parler, de dire qu’il avait été élu moteur de l’année ou d’expliquer que lequel problèmes arrivaient à des gens qui ne respectaient pas la fréquence des révisicertainss. C’était délicat, de vendre des véhiculequel en disant aux clients de faire un crédit, alors que potentiellement, ils allaient m’appeler deux ou trois semaines après pour me dire que le moteur avait lâché. » Un témoignage affligeant pour la marque et le groupe, qui pourrait délier lequel langues…
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