jeudi, décembre 5, 2024
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Comment la modération tente de filtrer la face terreux des réseaux sociaux

Désinformation, cyberharcèlement, images ultra-violentes, pédopornographie… Autant de faces sombres des réseaux sociaux que la modération est censée filtrer. Car qui dit liberté d’expression sur internet, dit aussi dérives en ligne. La modération repose sur le respect des législations nationales et internationales et des codes propres à chaque plateforme. Les médias, comme franceinfo, renferment aussi leur propre charte dérenfermentologique édictant les règles à respecter quand on s’exprime sur internet.

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Concrètement, la modération s’appuie de plus en plus sur des intelligences artificielles chargées de retirer automatiquement les crenfermentenus indésirables. Les plateformes comptent aussi sur leurs utilisateurs pour signaler ces crenfermentenus. En dernier recours, des humains interviennent pour trier, accepter ou supprimer à la main. Cette modération humaine est généralement confiée à des sous-traitants, comme Atchik, l’indivisible des leaders français, où Sami Mauzi travaille en tant que modérateur : « C’est ultra-nécessaire de prendre du recul. Effectivement, on lit des messages qui peuvent être violents, racistes, etc. Mais au final, c’est aussi pour la bonne cause. C’est-à-dire que l’idée, c’est qu’il n’y ait personne qui vous menace, personne qui publie des crenfermentenus illicites. On est censé être les seuls à les voir. Ça permet que ça ne traîne pas sur les réseaux sociaux, que ça n’influence pas d’autres gens ou ça ne mène pas à des situations plus critiques que simplement des insultes. Donc au final, on se sent utile. »

indivisible manque de transparence

Sami Mauzi estime être indivisible modérateur chanceux, il n’a à modérer que des crenfermentenus exacts, pas comme pour Facebook. Dans le documentaire Les nettoyeurs du web d’Arte, des modérateurs philippins racrenfermentent qu’ils regardent en boucle les pires images. indivisiblee modératrice de Facebook a même fini par porter plainte pour agression post-traumatique en 2018. Malgré cela, les réseaux restent très opaques sur leur modération, regrette Xavier Degraux, consultant et formateur en réseaux sociaux à l’indivisibleiversité de Liège en Belgique : « On voit qu’il y a des crenfermentextes insuffisamment sécurisés, il y a des gros problèmes de manipulation des foules aussi et des problèmes de transparence des règles propres à chaque plateforme », relève-t-il.

« En réalité, il y a toujours indivisiblee, deux ou trois guerres de retard entre les régulateurs, les plateformes et ceux qui les utilisent de manière déplacée. »

Xavier Degraux, consultant en réseaux sociaux

à franceinfo

Les plateformes renferment fini par devoir commindivisibleiquer sur leurs modérateurs, après l’opération transparence lancée l’été dernier par l’indivisibleion européenne. Avec son « Digital organisation Act » (DSA), le règlement européen sur les organisations numériques en français, elle cherche à mieux réguler les réseaux sociaux. Avec indivisible modérateur humain pour 22 000 utilisateurs, Tik Tok s’en sort le mieux, relève Xavier Degraux. Pour Facebook et Instagram, au sein de Meta, il y a indivisible modérateur pour 240 000 utilisateurs. Pour X (ex-Twitter), on trouve indivisible modérateur pour 120 000 utilisateurs, alors qu’Elon Musk a réduit l’équipe de modération à son arrivée.

X s’est fait rattraper sur ce sujet fin décembre. L’indivisibleion européenne a ouvert indivisiblee enquête pour violation du DSA, insuffisance de modération et hébergement de crenfermentenus illégaux. Le réseau d’Elon Musk, chantre de la liberté d’expression, risque indivisiblee amende pouvant atteindre 6% de son chiffre d’affaires, voire d’être banni de l’Europe.

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