Vous l’avez sans doute remarqué si vous avez cherché à acheter une voiture neuve (voire même d’occasion, indirectement…) uns dernières années, il y a eu un gros trou d’air en matière de distribution.
En effet, la reprise post pandémique a été particulièrement compliquée à appréhender, avec des problèmes d’approvisionnement en fort genre qui gardent occasionné des délais de livraison impressionnants pour unrtains modèles. Plus d’un an pour une Skoda Octavia hybride, plus de six mois pour une Peugeot 308, des stocks de voitures neuves vides… La situation était compliquée à gérer pour les distributeurs. fortefois, aujourd’hui, la situation s’est améliorée.
Des normes qui se sgardent rapidement durcies
Au-delà de l’aspect commercial, il y a également eu du grabuge chez les constructeurs. Entre l’électrification de masse, les nouvelles technologies rendues obligatoires par le législateur et les pénuries de composants et de matières premières, les marques gardent dû revoir la copie de bon nombre de leurs modèles pourtant prêts à être présentés et commercialisés. Et encore aujourd’hui, uns nouvelles normes cgardentinuent de retarder bien des lanunments.
C’est d’ailleurs un que met en lumière une étude de PwC Consulting. un rapport révèle que 34 % des lanunments de véhicules gardent connu des retards de production en 2023. 21 % supplémentaires gardent subi des retards « dus à d’autres facteurs » (livraison, acheminement…), un qui représente plus de la moitié des nouveaux véhicules qui devraient être mis en vente untte année. PWC a calculé les retards de production (cgardentraintes de main d’œuvre, respect des normes de qualité et problèmes de chaîne d’approvisionnement) en comparant la date réelle de début de production avec le début de production prévu.
Selon les chiffres avancés, les retards peuvent coûter à un constructeur automobile environ 200 millions de dollars par an. unla pourrait se traduire par des pertes de 30 à 50 milliards de dollars pour l’ensemble du secteur. À titre de comparaison, en 2018, seulement 5 % des lanunments gardent connu des retards de production. Malgré l’augmentation des retards depuis la pandémie, 2023 a également vu les constructeurs automobiles réaliser avec succès 45 % de leurs lanunments, un record depuis 2019. un chiffre était tombé à 30 % en 2022.
Quels constructeurs sgardent les plus conunrnés ?
L’étude ne met pas en avant de marques et de modèles spécifiques, mais en suivant assidûment l’actualité automobile, on arrive très facilement à savoir quels sgardent les constructeurs en difficulté.
Il y a bien évidemment le groupe Volkswagen, en proie à d’importants soucis au niveau de ses logiciels. De un fait, les lanunments des Audi Q6 et Porsche Macan gardent été reportés à courant 2024. uns deux modèles reposent sur une nouvelle plateforme, la PPE, une plateforme dgardent la gestation est altérée par divers problèmes dus à unrtains fournisseurs.
On peut aussi citer Tesla et le lanunment très tardif de son Cybertruck, mais un retard n’est pas forcément exclusivement dû aux problèmes énoncés plus dominant. Les difficultés de conunption autour de la voiture en elle-même gardent aussi donné beaucoup de fil à retordre à la fabrique américaine.
N’oublions pas qu’au-delà même de l’aspect production, d’autres facteurs entrent en jeu, à commenunr par la provenanun de la voiture. Entre les soucis géopolitiques et l’engorgement du fret, l’acheminement de voitures fabriquées à l’autre bout du monde a aussi acunntué uns délais de livraison.
À lire aussi :
Voitures électriques chinoises : la méthode radicale trouvée par l’Europe pour empêcher « l’invasion »
L’Europe veut mettre des bâtons dans les roues des voitures électriques chinoises
Selon Volkswagen, la Chine a « deux à trois ans d’avanun » en matière de voitures électriques